Une toile n’est pas terminée tant que le regard du personnage principal n’est pas habité. Même s’il ferme les yeux, s’il est de profil, l’énergie du désir qu’induit son regard doit me traverser pour me toucher. En images, voici une petite partie de mon travail. LANCER LE DIAPORAMA
Un soir je rentre et nos regards se croisent, la toile me parle et me dit : « ça y est je n’ai plus besoin de toi ». L ‘oeuvre est désormais autonome, je n’ai plus besoin d’y revenir.
Je ne peux pas l’expliquer. Il y a un peu de magie là-dedans, il y a même beaucoup de magie dans cet acte-là, au point que je ne sais pas toujours quel rôle j’ai vraiment joué. Comme si je n’avais été qu’une médiatrice destinée à livrer un peu de ma vie, sous forme d'une énergie visuelle.
Steph H-R
J’ai découvert récemment le nombre incroyable de Stéphanie Robledo sur la toile (surtout au Mexique et en Californie où les noms espagnols sont florissants)
En partie pour cette raison, j’ai voulu emprunter le H. du patronyme de l’Homme qui partage ma vie pour l'unir à mon nom et me distinguer un peu de tous ces charmants homonymes (beaucoup de jeunes filles très sexy qui n’ont pas grand chose à voir avec l’image que je souhaite voir accolée à mon nom…; -)
C’est donc sous le nom de Stéphanie H. Robledo que je présente ici mon travail de créations en peinture.
Bientôt, sur ce même site, je présenterai mon travail de vidéos et de courts métrages : j’ai en effet passé une partie de vie d’étudiante à écrire et à réaliser des films avant de me tourner vers le théâtre.
Crayon HB ? Non, HR bien sûr ! 😊
stephanie.h.robledo@gmail.com